Je suis pour la multiplication des réseaux et des occasions d'échanger entre les réseaux.
*jeunes :
Faire partie d'un groupe de réflexion « jeunes » sur un thème ne doit pas empêcher de s'intégrer dans les groupes de réflexion « mixtes ». Au contraire.
Il y a des jeunes qui ne prendraient pas forcément l'engagement de participer avec régularité à un pôle de réflexion, mais qui aimeraient être tout de même informés et consultés sur ces thèmes de réflexions et travailler à élaborer des solutions.
De toute façon, à l'heure actuelle nous sommes trop nombreux pour tous participer à ces réunions. Par le biais de ces relais, on maintiendra davantage les liens entre les militants. On ne peut pas raisonnablement penser tenir des « universités d'été locales » réunissant tous les militants pendant toute l'année. La réunion du 30 juin a rassemblé 300 personnes pour le 35! Voulez-vous vous cotiser pour louer des salles de 50 personnes pour chaque thème? Ou essaie-t-on de fonctionner en réseaux d'effectifs plus réduits mais en liaison régulière entre eux?
*répartition géographique :
Concernant l'éloignement géographique des militants, je pense qu'il devrait se former un réseau supplémentaire regroupant les militants du même secteur. Je veux dire par là, un réseau qui existerait en permanence (pas seulement en période électorale). Cela permettrait de mieux se connaître, de mobiliser plus facilement des troupes de campagnes, de mettre en place des covoiturages, de mieux diffuser l'information "informelle", et de voir émerger plus facilement des personnalités qui nous sembleraient « présentables», c'est à dire authentiquement représentantes de nos valeurs, pour les diverses élections.
Le maintien et le développement de ces réseaux (entre autres) me semble essentiel pour mobiliser durablement les nouveux militants.